Tumur, en stage à l’UNESCO en Mongolie
1) Comment as-tu trouvé ton stage ?
Je suis la page Facebook de l’UNESCO et j’ai vu une offre de stage. J’ai donc postulé. Une semaine après, l’UNESCO m’a contacté pour un entretien. Malheureusement, elle n’accepte pas d’entretien en ligne via Skype ou Messenger. On a échangé de nombreux mails et par le biais de ces échanges j’ai été retenu pour ce stage au sein de l’UNESCO.
2) Pourquoi avoir choisi l’Unesco ?
L’une de mes grandes passions est la découverte des cultures et des traditions du monde et l’UNESCO m’offre cette chance. Je crois que nous sommes tous égaux et que nous devrions tous avoir les mêmes chances dans la vie, notamment en matière d’éducation. Et le développement durable de l’UNESCO trouve en moi un écho et inspire ma vision du monde.
3) Pourquoi as-tu choisi de partir en Mongolie ?
Je suis Mongol et je ne suis pas rentré chez moi depuis longtemps. Franchement, mon pays m’a beaucoup manqué. Le paysage en Mongolie est formidable. Ce pays a une culture riche, d’anciennes traditions, des peuples amicaux et un ciel bleu éternel.
4) Quelle est la durée du stage ?
J’ai commencé le 20 mai et je termine le 19 Juillet, 2 mois.
Ce pays a une culture riche, d’anciennes traditions, des peuples amicaux et un ciel bleu éternel.
Dans le cadre de mes missions, j’assiste à plusieurs conférences nationales et internationales.
5) Peux-tu nous dire sur quelles missions tu travailles ?
Comme la langue de travail est le mongol et l’anglais, je fais beaucoup de traductions et d’interprétations. Tous les mois, l’UNESCO a des thèmes. Par exemple: le mois d’avril, nous avons organisé des événements et des conférences sur la pédagogie, au mois de mai, c’était la culture et en juin, l’environnement. Dans le cadre de mes missions, j’assiste à plusieurs conférences nationales et internationales. Par exemple, je viens de participer à une conférence pour la promotion de la radio communautaire en Mongolie.
Nous sommes également en train d’organiser deux conférences internationales qui concernent le patrimoine mondial de l’UNESCO. Je m’occupe principalement de la traduction de documents, de l’organisation logistique et de la mise en place du protocole.
6) Quel est le plus que tu apportes lors de tes missions ?
Le fait de parler français est un grand avantage. En Mongolie, la langue française est considérée comme une langue assez rare. Je sais que je ne parle pas couramment français, mais depuis mes études à la Catho j’ai fait des progrès inimaginables.
Pour en savoir plus sur la formation : Master Histoire – Relations Internationales